[Liminaire] [Simon Sylvius dit J. de La Haye],
A tresillustre et treschrestienne Princesse, Madame la Princesse de Navarre, J. de la Haye son treshumble serviteur, souhaitte entiere prosperité,
« Plus tost verrons, ô tresillustre Princesse », f. *2 r° - *6 r°
[Liminaire] Scève Maurice,
A tresillustre et tresvertueuse Princesse Madame Jane Infante de Navarre. M. SC.,
« La Marguerite, ou la celeste Aurore », f. *6 v°
[Liminaire] Le Maistre Claude,
Sonnet,
« L'Esprit de Vie en corps de Mort mussé », f. *7 r°
[Liminaire] Marguerite de Navarre,
Enigmes,
« Deux poinsons font une pippe,L'un luy disoit : helàs, ma Damoiselle », f. *7 v°
[Liminaire] Scève Maurice,
Aux Dames des vertus de la tresillustre et tresvertueuse Princesse Marguerite de France, Royne de Navarre devotement affectionées. M. Sc.,
« Bien que je sois la plus clere d'icy », p. 2
[Liminaire] Marguerite de Navarre,
Marguerite de France, Soeur unicque du Roy par la grace de Dieu Royne de Navarre, au Lecteur,
« Si vous lisez ceste oeuvre toute entiere », p. 3-4
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
Le miroir de l'ame pecherresse,
« Où est l'enfer remply entierement », p. 5-58
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
Discord estant en l'homme par la contrarieté de l'esperit et de la chair : et sa paix, par vie spirituelle. Qui est annotation sur la fin du 7 ch. et commencement du 8 de l'epistre sainct Paul aux Rom.,
« Noble d'esprit, et serf suis de nature », p. 59-64
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
Oraison de l'Ame fidele, à son seigneur Dieu,
« Seigneur, duquel le siege, sont les Cieux », p. 65-120
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
Oraison à nostre seigneur Jesuchrist,
« Mon createur qui avez congnoissance », p. 121-132
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
Comédies bibliques,
« [Incipit non renseigné] », p. 133-351
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
Le Triomphe de l'Agneau,
« Tous les Esleus et Souldars du Vainqueur », p. 353-411
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
Complainte pour un detenu prisonnier,
« S'il est ainsi, comme tresbien je croy », p. 411-431
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
Chansons spirituelles [1 à 33],
« [Incipit non renseigné] », p. 432-496
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
La fable du faulx cuyder contenant l'histoire des nymphes de Dyane, transmuées en saulles,
« Le mal qui est l'absence de tout bien », p. 499-531
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
Epistre de la Royne de Navarre, au Roy Françoys son frere,
« Le serviteur, fidele renommé », p. 532-539
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
Epistre II envoyée par la Royne de Navarre, avec un David au Roy François, son Frere, pour ses estreines,
« David voyant que par Mer et par Terre », p. 540-547
[Pièce insérée] François Ier,
Response envoyée par le Roy François à ladite Dame, avec une sainte Catherine pour ses estreines,
« Or pleust à Dieu par sa grande bonté », p. 548-552
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
Epistre III de la Royne de Navarre, au Roy François, son frere,
« Après la peur de quelque trahison », p. 552-558
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
Epistre de la Royne au Roy François son frere,
« Puis que voz yeux rempliz d'autre lumiere », p. 559-565
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
Epistre de la Royne de Navarre, au Roy de Navarre, malade,
« Celle qui pour eslongner vostre veüe », p. 566-568
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
Les quatre Dames, et les quatre Gentilzhommes,
« Est il ennuy, qui soit au mien semblable ? », p. 569-663
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
Comedie [des quatre Femmes],
« Tout le plaisir, et le contentement », p. 663-694
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
Farce de Trop Prou Peu Moins,
« Qui voudra sçavoir qui je suis », p. 694-741
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
La Coche,
« Ayant perdu de l'aveugle vainqueur », p. 742-796
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
L'Umbre,
« Amour en qui vertu est toute enclose », p. 796-801
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
La mort et resurrection d'Amour. Vers Alexandrins,
« J'ay veu les yeux desquelz Amour cruel tyrant », p. 801-805
[Pièce insérée] [Auteur anonyme],
Chanson faite à une dame, sur laquelle la Royne ha fait la responce suyvante,
« Je vous supply entendez moy », p. 806-807
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
Responce,
« De ton œil le regard je voy », p. 808-811
[Œuvre principale] Marguerite de Navarre,
Les Adieu des Dames de chez la Royne de Navarre, allant en Gascongne, à ma Dame la Princesse de Navarre,
« L'Adieu ne doit se dire tant que l'œil », p. 811-815